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il y a 5 ans
Cette histoire érotique nous dévoile les dessous du tournage d’une vidéo porno.
La nuit qui vient de se terminer à vraiment été longue; la nervosité, vous voyez. C'est aujourd'hui qu'Aurélie va tourner sa première scène, son tout premier rôle. Nous sommes tous les deux excités. J'ai pris congé de travail pour pouvoir l'accompagner.
Comme je disais, la nuit a été longue. Incapables de dormir, j'ai proposé bien des choses à ma chérie mais Aurélie à absolument insisté, elle devait rester "fraiche" pour son premier rôle, ce qui signifie que j'ai passé trois longs jours sans pouvoir toucher ma belle amoureuse. Je sais. Les célibataires qui liront ceci vont rager un peu, trois jours c'est rien quand ça fait trois semaines et trois mois que tu n'as pas eu de sexe.
Peu importe. Quand tu es habitué de baiser une déesse chaque jour et ce généralement plusieurs fois par jour, trois jours à sec c'est interminable, surtout quand tu sais que c'est pour le potentiel bénéfice d'un autre homme. J'ai donc passé cette dernière nuit à me frotter sur cette superbe femme vêtue d'une simple et douce nuisette sans pouvoir la baiser comme j'en avais envie parce que demain, un autre homme allait le faire à ma place.
Le pervers rencontre l'injustice, quoi.
Jour et heure fatidique enfin arrivés. Aurélie a terminé sa journée de travail au labo et rentre à la maison. Ses collègues n'ont aucune espèce d'idée que la jolie brunette taciturne qui travaille à leur côté va ce soir devenir une actrice du porno. C'est un secret bien gardé, ça rend la chose encore plus délicieuse. On soupe en silence. Aurélie prend sa douche seule, nerveuse. Elle se coiffe longuement, nue devant le miroir. Je regarde le long spectacle et je rêve en silence. Elle enfile enfin une tenue toute simple mais fonctionnelle. Ce n'est certainement pas ce qu'elle portera durant l'acte mais c'est tout de même très flatteur: de jolis sous-vêtements de couleur lilas et une robe mauve courte et légère qui lui moule agréablement le cul et les seins. Inutile de spécifier qu'ainsi, elle est vraiment bandante, En fait, en ce moment précis, elle pourrait porter un drap sur la tête qu'elle m'exciterait quand même. Je suis accroc et je suis surtout affamé.
Le chemin vers le studio ne prend qu'une dizaine de minutes à parcourir mais le temps semble s'étirer à l'infini. Aurélie est perdue dans ses pensées, elle ne porte pas trop attention à moi. Je lui jette des regards furtifs, comme si c'était une belle étrangère dans le métro qui aurait capté mon attention. Elle est si belle, son visage tendre, ses longs cheveux qui tombent sur ses épaules, son corps parfait recouvert de doux velours; mon esprit n'a qu'une pensée qu'il répète tel un mantra: "Regarde cette fille si jolie, tu vas bientôt la voir se faire baiser." Difficile de rester concentré sur la route.
La voiture arrêtée, je lui ouvre la porte. Aurélie se lève, me gratifie d'un joli sourire et m'embrasse doucement. Je saisis le moment pour caresser ses fesses avant de la voir s'éloigner de moi et se diriger vers ce lieu où tout va enfin débuter. La porte du studio ouvre et nous entrons. Cette fois, pas de longue angoisse dans la salle d'attente; au son de la porte qui s'ouvre, Étienne nous accueille immédiatement, grand sourire et bras ouverts. "Salut vous deux! Content de vous voir! Aaah! Aurélie, tu es encore plus belle que la première fois qu'on s'est vus!"
La première fois qu'Étienne a vu ma copine est surtout mémorable dû au fait qu'il l'a odieusement baisée devant mes yeux mais bon. C'est loin d'être un mauvais souvenir.
"Ah.. bon?" Hésite Aurélie. "Pourtant la dernière fois j'étais habillée sexy et tout, là je suis tout à fait normale."
"C'est tes cheveux!" S'exclame Étienne "Ils étaient droits et lisses la semaine passée mais aujourd'hui ils sont tous pleins de jolies courbes comme ta silhouette!"
"C'est son look naturel." Ma voix est neutre.
"Ahh le valeureux chevalier venu protéger sa dame! Tu sais qu'on lui fera pas de mal quand même!" Difficile de dire si Étienne est sarcastique ou blagueur.
Je lui offre un sourire un peu louche. "Tu sais très bien que c'est pas ça. Elle, son fantasme c'est de jouer dans tes films, le mien c'est de la voir faire. Pourquoi se contenter de faire un heureux quand on peut en faire deux?"
"Bien dit!" Rétorque Étienne en appuyant son enthousiasme d'une solide tape sur mon épaule.
"Allez, venez, les autres vous attendent!"
Ces derniers mots captent mon intérêt et je me remets vite à l'idée que pour faire un bon porno, ça prend plus d'une personne. Pendant tout ce temps, tous ces jours à me languir du corps d'Aurélie, je n'ai jamais pris le temps de songer à qui serait dans le film ni même qu'en serait le scénario. Tout sera clair sous peu, donc. On passe à la pièce adjacente. C'est très spacieux, une sorte de salon multi-usage avec un lit, deux divans et quelques autres endroits divers ou je peux facilement imaginer une bonne grosse scène de cul.
Je talonne Aurélie et je laisse mon regard s'attarder sur son beau petit cul qui se dandine gentiment de gauche à droite à mesure qu'elle marche. Je me demande si elle se fera enculer pour ce premier rôle. Hmmmm... Tout de même, c'est pour moi encore un peu difficile à croire que ma jolie copine se dirige d'elle même dans cette pièce où elle va se faire baiser par je ne sais qui. J'en suis affreusement nerveux.
Deux personnes nous y attendent. D'abord il y a ce grand gaillard qui ne doit franchement pas avoir plus de 20 ans. Mince, cheveux blonds bouclés et courts, visage un peu juvénile, il porte un pantalon foncé et une chemise bleu marine dont les trois boutons du haut sont détachés. Je pense qu'il essaie de se donner un look macho. S'il avait du muscle à montrer ou même juste un peu plus de poil, ça aurait peut-être fonctionné. Sans doute le gars qui va jouer de la caméra. Tant mieux, il va se rincer l'œil le petit chanceux.
L'autre personne est une femme, je lui donne peut-être trois ou quatre ans de moins qu'Aurélie. Malgré mon intention de rester "fidèle et neutre", je m'attarde à la regarder comme il se doit. Et par "regarder comme il se doit", je veux bien sur dire que je la déshabille honteusement du regard. Elle me regarde aussi et de toute évidence, mon geste aussi impoli qu'il soit ne l'importune pas du tout. Remarquez, j'en ai aucun remord: c'est un studio porno, pas une église.
Elle doit faire un mètre soixante-cinq et bien qu'elle a une silhouette totalement différente de celle d'Aurélie, elle n'a rien à lui envier. D'abord et avant tout, la spectaculaire paire de seins qui glorifie sa poitrine fait fi du t-shirt qui tente pathétiquement de la cacher. On y devine des tétons remarquablement fermes et je suis prêt à gager mon pantalon qu'ils sont entièrement naturels.
Je dis que selon moi ses seins sont naturels parce qu'ils sont à leur place avec le reste de son corps. Un quelconque idiot aurait tôt fait de dire que cette femme a dix ou douze kilos en trop mais ce serait de la pure bêtise; les kilos en question sont délicieusement distribués. Cette femme à de superbes hanches larges et gracieuses qui encadrent un cul rond et vraiment bien défini, celui-ci trônant au-dessus d'une paire de solides jambes ni trop longues, ni trop courtes. Elle porte un jeans noir très moulant et même si ce n'est pas du velours, c'est loin de me laisser indifférent. Pour faire une histoire courte, cette femme redéfinit le mot "courbes", elle est tout sauf une maigrichonne à la mode. C'est à ce moment précis que je me souviens! Lors de notre attente dans l'autre pièce, le jour de l'entrevue d'Aurélie, j'ai vu une photo d'elle accrochée au mur: elle y portait de la lingerie plutôt bourgeoise et un corset très bien ajusté; on aurait dit une actrice porno du burlesque des années 40. Une "collègue" pour Aurélie donc. La vie est belle.
Me f o r ç a nt à observer autre chose que son corps, je lève le regard. Sa chevelure encadre bien son visage, coupée en frange droite au-dessus des yeux, elle caresse doucement ses épaules à l'arrière. La couleur est intéressante, d'un beau brun très foncé voire presque noir, elle est parsemée de longues mèches d'un lilas très franc pendant que de multiples reflets mauves se profilent sur le reste de ses cheveux. Je n'arrive pas à comprendre comment elle a obtenu cette couleur mais c'est vraiment très joli. Sa peau est pâle et ses yeux sont d'un brun chocolat très profond. Je note qu'elle me regarde avec un air de prédateur et un sourire rempli de sous-entendu... ou est-ce Aurélie qu'elle regarde? J'adore ce genre de mystère.
"Voici Max et Cécilia" Annonce Étienne.
Ma bouche décide d'aller plus vite que mon cerveau. "Cécilia, elle joue dans le film aujourd'hui?"
"T'aimerais ça hein mon coco?" Ronronne Cécilia d'une voix aguichante.
Immédiatement, je regrette mes mots hâtifs. Étienne me sourit et Aurélie me regarde d'un air plutôt découragée.
"Et moi qui croyais que c'était moi que tu voulais voir dans un film! T'es facile à distraire!" Répond Aurélie. J'ai de la difficulté à deviner si elle est fâchée ou si elle m'agace. Est-ce que ma douce actrice serait un peu jalouse?
"Bah, je dirais pas facile. Donne du crédit à ton mec, elle est jolie Cécilia quand même." Lance Étienne à mon secours.
J'essaie donc de vite changer de sujet et je prends mon air le plus amical. "Et toi Max, tu travailles ici aussi?"
Max me toise du regard et semble insulté. "Bin, évidemment. Tu pensais quoi au juste?"
Surpris de son attitude presque hostile, je hausse les épaules. "Je suis le copain d'Aurélie, je suis ici même si je n'y travaille pas. Tu aurais bien pu être le copain de Cécilia." Hypothèse improbable j'en conviens mais j'avais besoin d'une porte de sortie rapide.
Cette dernière éclate d'un rire presque méprisant. Pendant une seconde, je comprends vite que j'ai encore gaffé.
Max fusille la belle Cécilia du regard avant de diriger ses yeux vers Aurélie pour lui lancer un regard qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. Après lui avoir décoché un sourire malsain, il me regarde d'un air très satisfait de lui-même. "Je suis acteur. Aujourd'hui je baise TA copine."
"En fait, tu vas être acteur. C'est son premier rôle et sa première scène également." Explique Étienne.
Les pièces tombent en place et mon cerveau peine à conclure tant la réalité me semble d'un soudain ridicule. "Tu veux dire que ma belle Aurélie va se faire baiser par ton ado là? C'est pas un peu n'importe quoi comme début?"
Mais putain de quoi je me mêle moi...
"Non mais qui c'est que tu traites d'ado??" Demande Max, visiblement frustré. J'ai 22 ans, grand père. Et d'ailleurs c'est quoi cette connerie, Étienne? Bon, d'accord, elle est pas mal cette fille mais quand même! Tu m'avais dit qu'elle serait un peu plus vieille mais pas en âge d'être ma mère!
"J'ai à peine dix ans de plus que lui..." Répond Aurélie d'une petite voix discrète, un peu vexée.
"Max, ta gueule un peu, s'il te plait." Intervient Étienne. "Je te l'ai dit tantôt, c'est un rôle facile. Femme mariée qui s'ennuie seule à la maison, elle rencontre un beau jeune homme et l'invite chez elle. Le jeune étalon voit sa chance de baiser et se fait donc initier par la belle femme plus expérimentée. Et ce n'est pas tout! Pour rendre ça plus intéressant tout en restant avec l'optique fétichiste, on va faire un beau film muet avec un filtre sépia, comme si c'était du milieu du siècle dernier. De cette façon, vous n'aurez pas à vous soucier de comment vous sonnez et je pourrai vous parler librement. Manon s'occupera de la couleur et des autres détails ensuite. Je vous garantis que ça va être génial!"
"Manon?" Je demande. Est-ce que c'est parce que je suis dans un studio porno que je m'excite aussitôt que j'entends un nom de femme? Je suis décidément très prévisible aujourd'hui.
"Crois-moi, tu veux pas savoir." Répond Cécilia tout bêtement. Je hausse les épaules et je laisse tomber.
C'est Aurélie qui répond à Étienne. "Oh, c'est vraiment original comme début! Tu as prévu des vêtements d'époque?" Demande ma copine, tout sourire.
"Oui et non, c'est pas tellement une scène riche en contenu, c'est vraiment la baise qui compte mais, pour toi ma belle" répond Étienne, "une belle robe de chambre comfo, légère mais riche et luxueuse, tout en velours évidemment."
Aurélie sourit, enchantée à l'idée.
"C'est nul cette idée de vieux!" Se plaint Max, "Pourquoi pas du stop motion pendant qu'on y est? On pourrait prendre des photos de ma bite avant que je la défonce et après le travail fini. Haha!"
Aurélie ne sourit plus. Je pense qu'elle vient de réaliser que "défoncer" est clairement une des conclusions possibles.
C'est Cécilia qui s'exaspère la première. "As-tu fini de te plaindre? Toi t'es ici pour ton pénis, pas pour tes idées. Si tu veux vendre tes idées, tu fais comme lui et tu te lance en business!"
Moi c'est l'idée de voir ce jeune crétin "défoncer" ma jolie copine qui, j'ai bien peur, ne m'est d'aucune excitation. Je commence à sérieusement regretter mes trois jours d'abstinence.
Étienne ne semble pas spécialement démonté par tout ceci. Comme il l'a démontré lors de l'entrevue d'Aurélie, il est habitué aux caractères particuliers qui se retrouvent dans ce métier. "T'en fais pas mon Max, tu vas voir, quand on va avoir fini cette scène, les filles vont supplier de tourner avec toi!"
"Ouais, surtout que ça va aider de ne pas l'entendre." Lance Cécilia sans hésiter.
Je l'aime bien cette fille.
Par contre Max ne l'aime pas trop. "Ta gueule grosse connasse! Tu verras quand on fera une scène, je vais te le détruire ton gros cul m e r d e ux!"
La charmante jeune fille (qui à mon humble avis n'est pas grosse du tout) n'en est pas le moindrement démontée. Elle pointe un doigt vers Max avant de demander: "Je sais pas trop... Étienne? Parlant de cul, tu ne penses pas que ce serait plus crédible si je portais un gode et que je lui détruisais le sien?"
Je rigole. Un peu trop visiblement peut-être.
Max lance les bras vers le plafond d'un air d'irritation qui me fait encore plus rire mais par respect pour Aurélie, j'évite de relancer de l'huile sur le feu.
"Et moi je porte quoi?" Demande Max. À en juger son expression, il craint la réponse.
"Toi mon gars tu ne portes rien." Répond Étienne. "Une bonne grosse érection suffira."
Max sourit, satisfait. "Ah bon quand même, une bonne nouvelle. J'avais peur des possibilités, je veux pas me ramasser à porter une vareuse ou un manteau ridicule pour mon premier rôle!"
Pour la première fois depuis notre arrivée, je peux voir une note d'exaspération sur le visage d'Étienne. "Bon allez, vous êtes tous les deux débutants donc, faut s'attendre à des pépins, j'aimerais donc commencer le plus tôt possible. Aurélie, tu as pris une douche avant de venir comme je te l'ai demandé?"
Aurélie confirme en hochant de la tête.
"Excellent." Conclut Étienne. "Changes-toi s'il te plait. Ta tenue est accrochée dans le placard au fond."
Malgré Max et tout le reste, j'ai bien hâte voir tout ça. Je sais, je l'ai vue se déshabiller des douzaines de fois mais la voir le faire ainsi devant ces gens, ces étrangers, ça va être grandiose. Ça s'est produit lors de son entrevue mais cette fois c'est pour vrai et ça va vite être filmé. C'est comme si son beau corps nu allait être partagé comme un trésor caché jusqu'à maintenant. J'espère seulement qu'elle ne sera pas transie de doute comme la semaine passée quand Étienne lui a demandé d'enlever son pantalon. C'est peut-être pour ça qu'elle porte quelque chose de tout à fait différent aujourd'hui. Facile à enlever, c'est le genre de vêtement qui peut être enfilé par le haut ou par le bas et qui se fixe en place grâce à une fermeture éclair à l'avant qui part du collet jusqu'au nombril.
"Euh..." Hésite ma copine. "Ya une salle de bains où je peux me changer?"
Étienne considère la question de ma copine, il la regarde d'un air médusé et hésite à répondre. C'est Cécilia qui vient finalement à sa rescousse. "Ma belle, si tout va comme prévu, dans quelques minutes tu vas être à poil, couchée sur ce lit, les jambes vers le plafond à te faire tamponner la minette par notre charmant chérubin ici présent. Je pense qu'à partir de maintenant, ton intimité personnelle n'est plus quelque chose dont tu devrais te soucier."
Si vulgaire et pourtant, offert sans le moindre soupçon de malice, les paroles de Cécilia m'enflamment immédiatement. Je peux voir dans le visage d'Aurélie, cette adorable appréhension, cette réalisation soudaine que c'est elle le plat de résistance, c'est effectivement sa chatte qui va se faire bourrer devant une caméra. Aurélie hésite et ne semble pas savoir ou se diriger.
"Viens chérie, je vais t'aider." Propose Cécilia en lui prenant la main et la tirant quelques pas vers le placard où se trouve sa tenue. Elle ne perd pas de temps et commence à déshabiller Aurélie elle-même en débutant par descendre la fermeture éclair de sa robe. C'est enfin commencé, le rituel menant à mon fantasme ultime de voyeur. D'un geste habile, elle dégage les épaules d'Aurélie et baisse sa tenue avant de la laisser tomber sur le plancher. Sous sa robe, Aurélie porte une brassière et une culotte d'un lilas discret qui rappelle étrangement la couleur des mèches de Cécilia. Tout est évidement fait de velours. Je me demande si Cécilia accepterait de les lui enlever en n'utilisant que sa bouche si je lui demandais poliment.
"Dis donc, c'est vrai ce qu'Étienne disait, tu ne portes que du velours toi. Tu es dédiée!" La voix de Cécilia est enjouée et pour cause: pendant qu'elle discute distraitement, ses deux mains s'affairent à peloter les jolies fesses d'Aurélie et je ne peux m'empêcher de remarquer à quel point leurs bouches sont proches l'une de l'autre.
"C'est original, des sous-vêtements de velours comme ça." Propose Cécilia en se mettant à genoux pour mieux observer la petite culotte d'Aurélie. Sa bouche demeure entrouverte, son mouvement est un peu lent et juste assez langoureux, je m'attends à la voir s'arrêter pour passer sa langue sur un morceau de choix d'Aurélie mais je reste finalement déçu.
"Tu en avais jamais vu avant?" Demande Aurélie qui discute avec cette fille et se laisse caresser et déshabiller presque aussi naturellement que si elles étaient sexuellement intimes.
"De la lingerie de velours, bien sûr que j'en ai vu. Remarque, la lingerie c'est stylisé et c'est souvent inconfortable. C'est la première fois que je vois des vrais sous-vêtements de tous les jours comme ça, en velours. Ça a l'air super confo en plus." Ajoute Cécilia en caressant vigoureusement la culotte d'Aurélie du cul jusqu'à la vulve sans vraiment se gêner. Aurélie resserre les cuisses un peu, c'est la gêne qui commence à prendre le contrôle. Son visage devient légèrement rosé par l'excitation que lui procure ce contact aussi doux qu'inattendu d'une main d'étrangère sur sa chatte.
"C'est tellement bien, j'aime vraiment ça et... oh!" Aurélie laisse échapper une timide exclamation au moment où Cécilia l'interrompt et, d'un petit coup sec, tire sa petite culotte vers le bas. J'ai une vue envieuse sur sa jolie touffe et j'en ai le souffle momentanément coupé. C'est un événement presque magique pour moi; le petit instant fugitif où tout ce qui restait de privé et d'intime chez ma douce Aurélie disparait et en un moment que j'ai à peine eu le temps de voir venir,
Je jette un coup d'oeil vers Étienne et Max; ils se foutent visiblement de la scène. L'un est trop habitué, l'autre doit simplement être trop con. Instant magique juste pour moi, on dirait. D'ailleurs, Cécilia crève définitivement ma petite bulle de bonheur. "Ouf... dis donc ma belle, c'est la jungle entre ces jolies jambes. T'as jamais eu le goût de la raser?"
Je regarde Aurélie, horrifié. Ma détresse est visible à cent mètres. Cette douce chatte bien fournie, c'est mon temple! Je ne veux pas qu'on y enlève un seul poil! J'espère sincèrement qu'elle ne se laissera pas influencer. À mon grand soulagement, elle secoue vigoureusement la tête. "Non, je garde ma chatte, je l'aime comme ça!"
"Je confirme." Ajoute Étienne. "Ça fait partie de son profil. Le look rigoureusement naturel, aucune modification."
Je suis soulagé. Si Étienne est de notre côté, le compte est bon.
"Bah. Moi je dis que faire le ménage un peu en bas des lèvres, y aurait pas de mal. Tu imagines toi foutre ta langue l'a dedans? Tu vas te retrouver des poils plein les dents." Proteste Cécilia. Elle n'a pas entièrement tort mais fait remarquer que c'est un détail qui ne m'a jamais empêché de me foutre le bouche entre les jambes d'Aurélie et ce, à répétition.
Étienne secoue la tête, il est inflexible. Je m'attends à voir Cécilia se vexer mais elle semble déjà avoir laissé tomber.
Le visage d'Aurélie est rouge comme une pomme; j'imagine que d'entendre parler de sa minette comme un article de catalogue pendant qu'elle se tient debout le sexe à l'air peut être un peu intimidant.
Cécilia se relève doucement en ne quittant pas le visage d'Aurélie des yeux en lui offrant un somptueux sourire et l'enlace pour lui détacher sa brassière. Elle colle son corps contre celui d'Aurélie beaucoup plus intimement qu'il est nécessaire. Si seulement j'avais un appareil photo... Les mains adeptes de la jeune femme n'ont besoin que d'un court instant pour venir à bout de l'agrafe qui tient la brassière en place. Une courte seconde plus tard, la voluptueuse Cécilia recule d'un pas et ma copine est complètement nue, ses jolis seins enfin libérés sont toujours aussi mignons et fermes. J'ai le goût d'aller mordre ses jolies mamelles roses.
Cécilia se retire définitivement et s'éloigne en prenant soin de porter les vêtements d'Aurélie au placard et d'y chercher la longue robe de chambre d'un vert royal qu'elle devra porter durant sa première scène. Aurélie semble perdue au milieu de cette pièce, complètement nue et vulnérable, ses yeux regardent un peu partout, on croirait qu'elle ne me voit même pas. Ses longues boucles brunes tombent sur ses seins délicats et comme toujours, sa superbe touffe fait un délicieux contraste avec sa peau pâle. Je pense qu'il est impossible en tant qu'homme de ne pas avoir envie d'elle.
Quand Cécilia se retourne, elle sourit en regardant Aurélie dans son ensemble. "T'es mignonne tu sais? Tu vas être une belle addition à notre studio, la jolie brunette timide, jolis nichons pas trop gros, superbe cul bien rond; les mecs vont se battre pour faire une scène avec toi et avoir le privilège de te bourrer le cul ou la chatte. Si j'étais moi-même un mec, je te sauterais dessus." Elle s'approche et l'aide à rapidement enfiler la robe de chambre qui s'attache d'un simple cordon à l'avant. À ma grande (et agréable) surprise, Cécilia s'avance enfin, passe ses bras autour d'Aurélie et pose un long baiser sur ses lèvres. "Tu es magnifique! J'ai tellement hâte qu'on fasse une scène ensemble que je puisse faire l'amour avec toi, je vais tellement a b u s e r de toi ma belle!"
Aurélie est rouge comme une pomme et ne sait pas quoi dire. Je sens son excitation qui monte en flèche. La robe lui fait à merveille. Elle est d'un vert ancien qui semble usé; c'est probablement un vieux vêtement. Le tissus est léger et mince, on peut deviner la forme de ses mamelons et je me plais de constater que son joli cul est jalousement épousé par le velours qui le recouvre. J'observe les deux autres. Étienne ne prête toujours pas attention aux filles, il est en train de fignoler sa caméra. Quand à Max, il est nu comme un ver et semble avoir repris intérêt puisqu'il se masturbe furieusement en regardant Aurélie. Je suppose qu'Étienne l'a bien choisi pour le rôle, ce garçon ne possède pratiquement aucune virilité sinon un bon membre bien raide. Les quelques poils qui décorent son torse sont discrets voire, ridicules. Pour être honnête, il a un joli visage. Si seulement il n'était pas un idiot de première... Enfin, Étienne voulait un look de jeune homme innocent et facile à corrompre, il a bien cadré l'acteur.
"Veux-tu bien me dire ce que tu fais?" Demande Cécilia.
"Bah c'est évident non, je m'assure de rester bandé! Faut je sois prêt pour ma scène!" Et tout bêtement, comme s'il venait d'avoir une épiphanie, Max abandonne son membre et se croise les bras devant la poitrine en regardant Cécilia avec un sourire arrogant. "De toute façon, si j'ai besoin, tu peux t'occuper de moi!"
Cécilia éclate encore de ce même rire méprisant, plus exaspérée que jamais. "Non, je ne suis pas ici pour m'occuper de toi, je ne suis pas payée pour faire du fluff. Toi, tu es à ton premier rôle, tu devrais être excité sans bon sens. D'ailleurs..."
Avant de poursuivre, Cécilia défait le cordon de la robe d'Aurélie d'un coup sec et ouvre complètement le vêtement pour de nouveau nous donner une vue frontale et complète du corps nu de ma copine. Aurélie pousse un petit cri timide avant que Cécilia n'enchaine: "Mon petit champion, si la vue de cette superbe femme à poil ne suffit pas à te garder bandé jusqu'à demain, surtout considérant que ta seule tâche aujourd'hui c'est de la baiser, tu peux t'en aller, tu n'es pas fait pour ce métier."
Max ne parle plus. Aurélie bouge vainement les bras, cherchant à reprendre le contrôle de son vêtement et maladroitement se couvrir, son visage maintenant bien au-delà du rouge. Je sens que je dois faire quelque chose sinon elle va briser de l'intérieur. "Si je peux me permettre, moi je suis si bandé que j'en ai mal au ventre et je vais probablement le rester jusqu'à demain rien qu'à la regarder. Est-ce que je suis à ma place?"
Aurélie me regarde quelques secondes et baisse les bras, elle ne pense même plus à cacher son corps puisqu'elle se met à pouffer d'un rire incontrôlable; chaque expiration fait rebondir ses jolis seins. Max est pantois. Je sais qu'il essaie de paraître fâché mais la vue du corps nu d'Aurélie ne le laisse définitivement pas indifférent.
"Bon allez ça suffit. On fait quelques essais sans trop se f o r c e r pour bien cadrer la scène et acclimater nos deux jeunes aspirants." Ordonne Étienne, revenu à l'avant-scène. "Max tu t'assois sur le lit. Aurélie, tu viens le rejoindre mais tu restes debout. Max, tu peux la tripoter un peu mais tu n'ouvres pas sa robe, c'est elle qui va le faire. Amuse-toi avec ses seins, son cul, reste relax. Essaie de suivre son jeu, elle est douée, tu verras. Le film sera muet mais c'est ok si vous discutez, essayez seulement de ne pas a b u s e r. Aucune pénétration avant mon signal." Étienne me regarde enfin. "Toi mec tu restes gentiment assis à l'écart. Je sais que c'est ta copine mais ce sont les règles du jeu."
Je lui fais signe que j'ai compris et que je suis d'accord. Ma copine. Trop tard pour reculer. J'ai du mal à avaler. C'est sur le point de vraiment commencer. Je m'assois sur un des gros divans à une distance suffisante du lit pour ne pas être dérangeant mais quand même assez près pour ne rien manquer de l'action.
Cécilia vient s'asseoir près de moi. "Ils n'auront pas besoin de moi pour un bon moment alors aussi bien faire connaissance. Ça va? Pas trop nerveux?"
Je la regarde avec attention. Elle est vraiment attirante, cette Cécilia malgré le fait qu'elle est tout le contraire de ma copine. Elle ne donne aucune impression d'innocence et de naïveté, deux traits d'Aurélie qui m'enflamment. Si ce n'était de ma copine toute proche et de la situation actuelle, je serais vraiment tenté d'explorer la possibilité de baiser avec elle. Fidèle ou non, il faut comprendre qu'en ce moment très précis mes hormones ont largement le dessus sur mon cerveau. Ironique quand même. Ma copine sur le point de se laisser baiser par un autre homme et moi je garde tout de même mes distances avec la superbe femme qui est assise à quelques petits centimètres de moi.
"Nerveux moi? Mais c'est Aurélie qui..."
Cécilia sourit, se tourne complètement vers moi et s'approche un peu. Personne ne nous porte attention et ses mots sont de toute façon très discrets. "Tu le sais comme moi. C'est ta jolie copine qui s'apprête à se faire belle pour la caméra. Ce jeune garçon va ouvrir sa robe et elle va bientôt être toute nue. Tout le monde pourra regarder sa petite chatte poilue que tu aimes tellement et c'est devant tes yeux impuissants que ce mec va y planter sa grosse bite." Cécilia se rapproche encore plus, elle passe une de ses jambes par-dessus la mienne et s'installe pour chevaucher ma cuisse tout en comblant les centimètres restants. Je dois faire un immense effort mental pour ne pas aller lui prendre le cul à deux mains.
Je sens ses seins s'appuyer contre ma poitrine alors qu'elle passe ses mains autour de mon cou et approche sa tête. Son odeur est enivrante et son haleine me donne le goût de l'embrasser. "Essaie d'imaginer la scène quand il va la pénétrer à fond. Il va ressentir toute cette douceur qui jusqu'à maintenant était réservée à toi. Quand ses couilles vont cogner contre son joli sexe et quand les douces lamentations de ta belle vont finir au fond de sa bouche à lui alors qu'il explore la sienne sans se gêner..." Cécilia me domine totalement. Bien assise sur moi, elle balance son bassin tout doucement et frotte sa chatte sur mon abdomen.
Soudain, je panique! Si Aurélie nous voit elle va péter un câble! Heureusement, un coup d'oeil rapide me permet de voir qu'elle est dos à nous pendant qu'Étienne lui explique quelque chose, elle semble absolument absorbée.
La créature de rêve accroupie sur moi continue la délicieuse t o r t u r e en passant les doigts d'une de ses mains sur la peau de mon cou. Elle me susurre à l'oreille: "Dans tout juste quelques secondes, ton adorable petite Aurélie va se faire culbuter par un autre mec et on va tout bien filmer pour que ce moment demeure éternel. En plus, le mec en question est un abruti qui nous énerve tous les deux. Ce n'est pas un peu frustrant ça mon joli?" Ses lèvres sont tellement proches de mon oreille que j'attends à ce qu'elle m'y donne un petit coup de langue pour m'aguicher d'avantage.
Elle prend une petite pause pour me laisser bien apprécier l'implication. Elle m'a rapidement saisi, cette fille. Elle a très vite compris ce qui m'allume et même si elle me l'annonce comme si c'était une catastrophe sur le point de se produire, j'en suis impossiblement excité. Mon fantasme va se produire d'une seconde à l'autre et la seule chose qui gâche le moment c'est que le mec en question est effectivement un imbécile. Cécilia marque tout de même un excellent point: maintenant que c'est sur le point de commencer, je suis excité comme si c'était ma première baise.
"Alors, nerveux?" Me demande-t'elle à nouveau. Je ne peux plus dire si sa voix est douce ou cruelle.
"Horriblement nerveux."
Cécilia se retire de quelques centimètres, juste assez pour se donner du jeu pour porter sa main à mon entrejambe et caresser discrètement mon membre déjà dur comme un roc. Son toucher léger mais habile m'envoie des frissons dans le corps. Elle s'attarde un peu et fait durer la t o r t u r e en faisant de doux mouvements de va et vient par-dessus mon pantalon, son pouce glissant sur le bout de mon pénis pour augmenter la t o r t u r e . Je frôle l'extase. Je suis tellement stimulé qu'un simple baiser de ses lèvres suffirait surement à me faire jouir comme un débutant.
"Au moins, tu sembles apprécier le spectacle mais quelque chose me dit que c'est pas juste ta jolie copine qui te fait bander en ce moment, mon mignon. T'aimerais pas ça savoir si ma chatte est aussi douce que la sienne? Tu ne trouves pas ça injuste que ta belle Aurélie te rende cocu quand moi je pourrais te donner une baise dont tu te souviendrais toute ta vie? Tu m'imagines nue? Complètement à poil, assise sur ta verge à crier comme une salope pendant que ta copine se fait défoncer la minette juste à côté? "
"Oh putain ne me dis pas ça... Pas parce que j'en pas ridiculement envie mais, je peux pas faire ça à ma copine, je l'aime cette fille. Ce qu'elle fait aujourd'hui, elle le fait parce qu'on est les deux d'accord. Je sais qu'elle m'aime aussi. Je ne suis pas cocu, ma copine n'est pas sur le point de me tromper, elle s'apprête à jouer un rôle et rien d'autre."
Je prends une petite pause. Je sens que Cécilia va se foutre de ma gueule d'idéaliste et se mettre à rire comme une harpie mais tant pis. D'ailleurs, je prends le temps d'ajouter, juste pour elle. "Même si, je dois l'admettre, tu es jolie, tu es belle, tu es bandante comme c'est pas possible."
C'est à ce moment que Cécilia fait la dernière chose à laquelle je me serais attendu. Elle me sert fort contre elle et je sens que ce geste n'a plus rien de sexuel. "Tu me surprends, mon coco. T'es un bon mec et tu ne laisses pas ta queue décider pour toi même si c'est clairement ton morceau le plus éveillé en ce moment." Me roucoule-t-elle tout doucement à l'oreille. "Je pense que je vais bien m'entendre avec toi, surtout si tu me laisses baiser ta copine un jour."
Pendant que je laisse cette dernière image mentale mijoter dans mon esprit, Cécilia se retire doucement et se rassoit à mes côtés. "De toute façon, ça aurait pas marché entre nous, t'es pas mon genre." Ajoute-elle avant de me faire une grimace discrète.
"Toi, t'es une putain de succube." Je lui réponds en souriant. Elle ne dit rien mais me renvoie un sourire plein de promesses. Me serais-je fait une amie?
La distraction terminée, Il est maintenant temps de se concentrer sur le spectacle. Étienne a déjà commencé à filmer et Aurélie s'est approchée de Max mais rien d'autre ne s'est passé. Elle ne semble pas avoir eu connaissance de notre petite... conversation.
Debout toute proche de son futur partenaire sexuel, elle lui caresse les cheveux délicatement mais semble un peu hésitante à bouger. Je peux déjà imaginer le résultat, vu le filtre sépia et tout, c'est gagné d'avance. On dirait vraiment un film du début du siècle avec la jolie femme dans la trentaine qui cherche à initier le jeune garçon aux plaisirs du corps.
"T'es mignon max. Tu ne me fera pas trop mal?" La voix d'Aurélie est cajolante mais si j'étais à la place de Max, je serais très sérieusement en train de me demander si elle se moque de moi.
"T'en fais pas mamie, je vais quand même pas te frapper mais je vais te défoncer comme une salope. Je vais me faire ta putain de grosse chatte poilue."
Cécilia semble découragée. "Quel tombeur..." Je dois avouer qu'en matière de dialogue érotique, c'est largement comparable à de la m e r d e . C'est finalement une bonne chose que le film soit muet.
Aurélie recule d'un petit pas et cesse de toucher les cheveux de son partenaire douteux, visiblement éteinte par cette réplique des plus désenchanteresse. Comme si elle venait de baisser sa garde et que c'était le moment attendu, Max s'élance. D'une main il saisit la robe d'Aurélie par la taille et tire brutalement vers lui. Surprise, Aurélie ouvre grand les yeux et pousse un petit cri de détresse alors qu'elle perd l'équilibre et titube vers l'avant, s'inclinant pour reprendre prise et éviter de tomber. De son autre main, Max la saisit par les cheveux, la f o r c e vers lui et l'embrasse agressivement. Ce n'est pas exactement ce que j'avais imaginé comme premier contact
"Holà... doucement mon vieux. Je sais qu'elle est jolie et que tu es excité mais tu es censé être initié ici." Lance Étienne. Le jeune homme lâche prise et Aurélie essaie de reprendre un semblant de dignité.
"Quel con..." Soupire doucement Cécilia, juste assez fort pour moi mais en s'assurant que Max n'entende pas. Peu importe; en ce moment précis, Max ne semble avoir qu'une seule idée en tête; il n'a visiblement plus aucun problème avec l'idée de baiser "la mamie".
Cécilia se lève et se dirige vers Aurélie. "Replaces toi où tu as commencé ta scène." Commande Cécilia. "Toi l'excité, bouge un peu du chemin et observe!" La jeune femme prend la place assise qu'occupait Max et continue sa démonstration. "Tu es censé explorer, découvrir. Tout est doux et merveilleux, regarde..." Cécilia prend gentiment la main d'Aurélie pour la faire se rapprocher d'elle. Elle place son autre main sur les fesses couvertes de velours et caresse sans trop se presser et sans jamais quitter son regard des yeux de la belle. Abandonnant la main d'Aurélie, Cécilia glisse ses doigts tout le long de l'abdomen de sa nouvelle chérie et s'arrête pour délicatement agacer le bout de ses mamelons au travers la robe. Aurélie sourit, ferme les yeux et soupire tout doucement.
"Quand tu sens qu'elle est à l'aise, tu l'invites silencieusement à s'asseoir à côté de toi." Souffle Cécilia en indiquant une place sur le lit. Aurélie s'approche et prend place dans un mouvement si délicat, si empreint de féminité que même Max peine à garder son calme. Cécilia passe un de ses bras autour de la taille d'Aurélie, s'approche d'elle et l'embrasse longuement, profondément pendant que son autre main fait la navette entre le visage, les seins et la chevelure de ma copine. Leurs jolies bouches s'explorent mutuellement, leur jeu de langue me laisse euphorique; les légers soupirs sont bientôt peuplés de douces lamentations mutuelles, pleines de promesses. Aurélie a tôt fait de passer un bras autour des épaules de sa belle t o r t i o n n a i r e pendant que son autre caresse la poitrine de Cécilia. Les deux filles sont prises dans une étreinte passionnée et ne se quittent plus pour un moment qui m'est très agréable.
Quand Aurélie finit par être libérée de l'étreinte de Cécilia, elle est haletante et excitée. Elle frissonne un peu et ses yeux trahissent le désir. Elle peine à se séparer de l'autre belle, je devine sa chatte chaude et mouillée: elle est fin prête à se faire baiser mais c'est selon moi Cécilia qui devrait avoir ce privilège.
Ou moi. Allez savoir.
"Merci Cécilia." Lance Étienne qui n'a pas perdu une seconde de cette précieuse scène. "Aurélie, relève-toi. Max, tu peux faire pareil?" Max hoche la tête, il semble avoir compris.
Tout le monde reprend place, Max reste assis sur le lit et garde le silence. Aurélie, toujours sous l'euphorie charnelle du moment tente de récupérer la situation en lui faisant les yeux doux et en s'approchant avec une hésitation qui multiplie le niveau d'érotisme de la scène. Elle laisse sa main droite descendre vers lui et s'attarde à caresser délicatement son pénis en érection. Je ne sais pas si elle pense que c'est dans la nature du rôle mais elle continue de lui offrir un large sourire. Gênée peut-être? Encore sous l'emprise des caresses de Cécilia? Une chose est certaine: être à la place de ce Max, avoir eu 20 ans et devoir me faire initier au sexe, j'aurais aimé que ce soit par elle et exactement de cette façon. Putain qu'elle est belle.
Puisque le jeune homme ne semble pas parti pour l'inviter doucement comme on vient de lui démontrer, Aurélie s'approche encore jusqu'à ce que les plis du bas de sa robe touchent les jambes de son jeune cavalier.
Ce léger contact physique déclenche une réaction immédiate. Aussi soudainement que lors du premier essai, Max se lève et se rue pratiquement sur Aurélie. Le mouvement est si brusque qu'elle abandonne son pénis et lève les bras, ne sachant trop que faire de ses mains. Max lui saisit simultanément un sein et une fesse et se met à les tripoter rageusement avec une hargne inexplicable; rien à voir avec ce qu'on vient de lui démontrer. Il y met tant d'énergie que j'ai mal pour Aurélie. Ses fesses sont capable en prendre, j'ai déjà essayé, mais y aller aussi brutalement avec ses seins?
Aurélie pousse un petit gémissement de douleur. Je suis à la fois outré et excité. Étienne se contente de laisser les choses aller pour le moment. Max en rajoute en se rapprochant le plus possible et en se mettant à donner des coups de hanches pour frotter son pénis en érection sur le velours qui recouvre l'abdomen de la belle. Aurélie est si mal à l'aise, c'en est palpable. Cécilia est découragée et moi j'ai le goût de me lever pour cogner cet imbécile.
"Max bordel, c'est quoi ces conneries? C'est elle que tu dois baiser, pas sa robe! Tu lui fais mal et tu as l'air d'un con! C'est pas crédible m e r d e ! On coupe!"
Max ignore les ordres du patron et s'approche de ma copine pour l'embrasser de nouveau en continuant de se frotter le membre sur sa douce robe. Redescendue de son délicieux nuage, Aurélie n'en peut plus du ridicule de la scène et à travers les baisers maladroits de son partenaire, éclate d'un rire complètement inattendu. Max retire ses mains du corps de la belle et se met à protester d'une voix vexée. "Mais c'est quoi ton problème? Pourquoi tu te fous de ma gueule comme ça? On avait un moment-là!"
Aurélie ne répond pas, elle rit encore de plus en plus. Je sais que c'est la gêne, elle n'en peut plus et elle peine à négocier toutes les émotions qui l'accablent.
Étienne tente de sauver les meubles. "Faut essayer de la comprendre! Tu sors complètement du scénario! Cécilia était délicate et toi tu es enragé! Ya un malaise. Elle rit parce qu'elle ne sait plus quoi faire. Tu en penses quoi toi? Faut te reprendre, mec."
"Tu parles que je vais me reprendre!" Les yeux de Max n'annoncent rien de bon. En un éclair, il arrache le cordon de la robe d'Aurélie et tire très fort de chaque côté pour ouvrir le vêtement, exposant du même coup toute l'intimité de son corps. Même de mon siège relativement éloigné, j'entends les coutures du tissu qui craquent! L'idiot a tiré si fort que le tissus s'est même déchiré par endroit... quel gâchis!
Aurélie lève de nouveau les bras et demeure sans défense, trop surprise par ce geste si soudain et v i o l ent. C'est quelque chose d'étrangement érotique, une si jolie fille, vulnérable qui en plus de devoir montrer son corps complètement nu, se place d'elle même dans une position sans défense. C'est presque trop demander de ne pas a b u s e r et c'est donc exactement ce que Max fait en la bousculant brutalement vers le lit! Elle s'effondre sur le dos et essaie de s'appuyer sur ses coudes pour remonter en position assise, rien n'y fait! Max s'élance et grimpe sur le matelas et se place vite par-dessus elle en position de domination. D'une main libre, il la pousse de nouveau et la plaque rageusement contre le matelas. Je peux apercevoir le regard de terreur dans les beaux yeux d'Aurélie, elle comprend parfaitement bien ce qui va suivre. Nous le comprenons tous.
Tout cela se passe vraiment très vite! Aurélie se met à protester! "Arrête! Non! NON! PAS COMME ÇA!"
Max se rue sur son corps nu et lui enfonce son pénis au fond de la chatte; il la pénètre brusquement et furieusement! Avant que personne ne puisse réagir, le jeune homme se déchaîne et se met à tamponner le joli sexe de ma copine aussi frénétiquement qu'il le peut.
Cela n'a rien d'érotique. Cette pénétration n'est d'aucune qualité ni visuelle, ni même sexuelle. Max semble plutôt être comme un petit chien qui aurait jeté son dévolu sur une patte de chaise et donne de furieux petits coups de bassin à une cadence démesurée.
Je ne sais plus quoi penser ni quoi faire. Est-ce que je dois laisser aller? Est-ce acceptable comme scène?
Je pense qu'Étienne est sur le point d'intervenir quand Aurélie éclate de nouveau de rire. Cette fois, ce n'est plus de la gêne. C'est le ridicule qui sort. Toute la scène est ratée. Sa robe est déchirée. L'érotisme a foutu le camp par la fenêtre et sa première expérience est misérable, l'excitation disparaît à vue d'oeil.
"Ta gueule! Arrête de rire, salope!" Max attr a p e une poignée des cheveux de la belle et assure sa prise en tirant sa tête vers l'arrière tout en continuant sa pénétration rapide et brutale!
Aurélie ne rit plus; elle se met à protester vivement. "Arrête! Tu tires trop fort! Ça fait mal!" Je crois qu'il s'apprête même à la frapper!
Ça suffit! Peu importe ce qu'Étienne m'a demandé, on est sorti des règles du jeu! Je me lève pour arrêter la scène quand je sens une main ferme me tirer vers l'arrière. "Restes assis." La voix de Cécilia est autoritaire et décidée. Je m'apprête à lui dire d'aller au diable quand je vois dans ses yeux qu'elle n'est pas en train de m'arrêter pour faire durer la scène; c'est elle qui va agir. Cette fille rage de l'intérieur et maintenant, le volcan va exploser.
Max se met à se lamenter comme un chaton. À peine quinze secondes après la pénétration, il va jouir, le con.
Cécilia s'est levée et atteint rapidement le lieu de la scène. Elle ne laisse même pas Max se vider dans la chatte d'Aurélie. Elle l'attr a p e par le bras et elle tire brutalement vers elle. À en juger la poigne de cette fille, elle ne le ménage pas. "Allez l'étalon, on se rhabille et on retourne chez sa maman."
"Oui mais..." Max tente de protester, son visage à moitié transi par l'orgasme qui le secoue. Il se met à éjaculer par terre et semble soudainement petit et ridicule. Cécilia n'attend même pas qu'il ait finir de jouir et l'expulse dans une salle de bain adjacente.
"Pas de mais. Être nouveau, être confus et faire des gaffes, c'est une chose mais être con comme un mur, c'est pas acceptable. On a tous perdu du temps à cause de toi et maintenant que tu es venu comme un con, tu ne seras plus d'aplomb pour un bon moment. De toute façon, pas de danger qu'on te laisse la toucher de nouveau! Notre nouvelle recrue a sans doute le goût de tout abandonner à cause de toi. Allez! Dégage! Fous le camp! Connard!"
Aurélie demeure couchée sur le dos, la vulve à l'air, les jambes bien écartées. Elle rigole un peu et pleure en même temps. Ma pauvre chérie.
"Je vais être honnête, celle-là. je ne l'ai pas vu venir." Annonce simplement Étienne.
Cécilia le fusille du regard. "Mais qu'est-ce qui t'as pris d'engager ce con? T'as pas filtré un peu?"
Étienne demeure calme et hausse les épaules. "Crois-moi, il était une tout autre personne lors de son entrevue. Il était poli, charmant... réservé même."
C'est moi qui lui donne la réplique. "Ouais, on sait bien, celui-là tu as pas pu le baiser alors comment savoir?" Mes mots sont froids mais en ce moment précis, je n'éprouve pas un amour très profond pour ce studio. Étienne ne m'en tient pas rigueur, il sait qu'il a merdé.
"Pff.. quelle m e r d e ." Cécilia se tourne vers Aurélie. "Ça va ma jolie?"
Aurélie secoue la tête. "Je pense que j'ai fait une erreur, ce n'est pas pour moi la porno."
Étienne s'apprête à répondre mais Cécilia le coupe. "Foutaises! Tu es jolie comme un ange et je laisserai pas ce con te briser tes fantasmes." Elle nous regarde brièvement. "Étienne! Tu filmes! On enchaînera avec le segment que j'ai fait avec elle voilà quelques minutes. Toi, le copain, tu restes assis!"
Ni Étienne ni moi n'osons la contredire alors qu'elle grimpe sur le lit et prend Aurélie dans ses bras pour la réconforter d'une longue étreinte amoureuse. Elle lui chuchote quelque chose à l'oreille que je n'entends malheureusement pas mais quand Cécilia recule son visage pour voir la réaction d'Aurélie, elle se fait accueillir par un sourire angélique. C'est même Aurélie qui s'approche pour l'embrasser tendrement.
Cécilia ne perd pas de temps et laisse sa main droite tomber pour aller caresser la vulve de ma copine. Ses doigts ont tôt fait d'explorer son doux vagin, taquinant son clitoris et traçant la longue ligne de ses lèvres roses et humides.
Aurélie regarde Cécilia d'un air gourmand. "Tu trouves pas ça injuste que chaque fois qu'on s'est touchées depuis mon arrivée, ya que moi qui est nue?"
Oh Aurélie, comme tu lis dans mes pensées.
Cécilia ne prend pas la peine de répondre avec des mots et laisse ses gestes parler pour elle. D'un mouvement assuré, elle saisit son propre t-shirt au niveau de la taille et a tôt fait de l'expédier au-dessus de sa tête pour de le balancer loin du lit.
Cécilia nous offre un spectacle aussi inattendu qu'inusité. La première chose qui tape à l'oeil c'est l'énorme tatou qui couvre presque l'entière surface de son dos; un gigantesque dragon pourpre et argent aux ailes déployées d'une épaule à l'autre. L'oeuvre est magistrale certes mais ce qui attire mon attention c'est le relief qui la caractérise jusqu'à ce que je comprenne que le dos de Cécilia est recouvert d'une vingtaines de piercings de métal savamment distribués à des points stratégiques du dessin. Les serres, la pointe des ailes, les yeux, les articulations des membres sont tous ponctués de ces petites bosses argentées. C'est inhabituel mais je dois l'avouer, absolument magnifique.
La brassière que Cécilia porte est noire comme le jeans qui couvre son formidable cul. Le bonnet ne couvre que la partie inférieure de ses seins. Déjà, avant même qu'elle ne retire cet accessoire situationnellement superflu, je peux pleinement apprécier cette poitrine spectaculaire. Aurélie s'approche et retourne le geste que Cécilia lui a offert il y a quelques minutes en détachant le soutien-gorge de sa nouvelle amie. Sans cérémonie, cette dernière s'empresse de l'envoyer rejoindre le t-shirt déjà oublié. Les seins de Cécilia sont définitivement magnifiques. Malgré leur volume quelque peu inhabituel, la peau est lisse et belle, ses mamelons sont rose pâle et généreusement gonflés. Certaines femmes ont des aréoles larges couronnées de minuscules tétines mais Cécilia a plutôt de généreux mamelons qui ne demandent qu'à être sucés longuement et vigoureusement.
Je pense qu'Aurélie atteint la même conclusion puisqu'elle les regarde d'un air gourmand. Comprenant vite le désir de ma belle copine, Cécilia la saisit fermement par les cheveux et porte un de ses seins vers la jolie bouche qui s'ouvre avec enthousiasme, la langue déjà sortie. Aurélie le prend d'ailleurs à pleine bouche; je ne peux voir son jeu de langue mais à juger le mouvement de ses joues et le sourire de Cécilia, elle y met de l'entrain. "Laisses-toi aller ma chérie mais gardes-en pour l'autre."
Aurélie ferme les yeux et se contente de répondre par de petits gémissements bandants à mesure que Cécilia continue d'explorer sa douce petite chatte.
Cécilia ne s'emm e r d e visiblement pas. Bien malgré elle, son bassin commence à faire des mouvements de va et vient qui ne mentent pas; si elle était un homme, Aurélie serait de nouveau en train de se faire pénétrer.
Parlant d'homme, j'entends la porte du studio qui claque. Au revoir Max. Bon débarras.
Aurélie caresse vigoureusement le cul de Cécilia mais au travers les jeans, le geste apparaît presque stérile. Ses jolies petites mains se dirigent donc vers la fermeture avant et détachent le bouton pour ensuite baisser la fermeture éclair. C'est malheureusement tout ce qu'elle peut faire puisque Cécilia est accroupie sur elle.
Sans se le faire demander, celle-ci se retire juste assez loin pour pouvoir baisser son pantalon et sa petite culotte du même coup. Le cul de Cécilia est rond et généreux, c'est absolument magnifique. Ce sont de superbes fesses rondes et rebondies que je contemple et pour un moment, je suis jaloux d'Aurélie.
Son pantalon parti là où il ne nuira plus à personne, Cécilia a tôt fait de se relancer sur Aurélie, ainsi placée sur ses genoux et ses coudes, elle s'impose et couvre le visage de ma belle copine de langoureux baisers et ne se gêne pas pour donner de la langue. Leurs poitrines sont pressées l'une contre l'autre et Cécilia frotte son entrejambe sur la touffe d'Aurélie comme y elle la baisait.
"Oh putain j'adore ta jolie petite bouche de Sainte-Nitouche! Fais-moi voir comment tu fais avec!" Lance Cécilia alors que d'un geste décidé, elle se propulse vers l'avant et place ses genoux par-dessus les épaules d'Aurélie pour ainsi clouer l'adorable visage de la belle entre ses voluptueuses jambes. Elle lui attr a p e les cheveux et f o r c e ainsi la bouche de ma copine sur son sexe. Je constate que l'effort est futile: en voyant ce temple s'approcher ainsi de son visage, ma belle Aurélie ouvre la bouche et tend la langue avec encore plus d'enthousiasme qu'avant. Ma jolie brunette referme les yeux et se lance alors avec zèle, prodiguant un amour oral d'une telle intensité que Cécilia se met presque immédiatement à se lamenter comme une pute.
Je me fous de ce qu'Étienne pense. Je détache mon pantalon et je commence à me masturber lentement en appréciant le spectacle. Je sais que si je vais le moindrement vite, je vais jouir et je veux que le plaisir dure. De mémoire, c'est certainement un des défis les plus difficiles que j'ai eu à surmonter!
Le jeu de langue d'Aurélie dure une petite minute quand soudain, Cécilia se dégage.
"Déjà?" La toute petite voix d'Aurélie est craquante.
"Oh que non ma belle. Je fais juste modifier le terrain de jeu!" Annonce Cécilia alors qu'elle se tourne pour me faire face. Sa vulve a de nouveau tôt fait de retrouver la bouche d'Aurélie et cette fois, je peux l'admirer comme il me plait. Son joli vagin est couronné d'un rectangle bien taillé doté de poils droits et foncés, une large bande couvrant le dessus de sa belle vulve mais laissant ses lèvres vaginales complètement découvertes. Je préfère de loin la douce pantoufle triangulaire d'Aurélie mais je me dois d'avouer que ça a aussi son charme.
Cécilia capte mon intérêt et me sourit immédiatement alors qu'elle se met à vigoureusement caresser son propre clitoris tout en frottant sa vulve sur le visage d'Aurélie. "Ah ouais ma belle... Vas-y encore... laisses-ta langue explorer... vas plus haut et embrasse-moi le cul... oooh oui... comme ça... ta langue sur mon anus... mmmm...."
Putain je vais exploser. La vue est euphorique. Aurélie, toujours couchée sur le dos me montre son corps complet, seul son visage est caché puisque Cécilia est ni plus ni moins assise dessus. Les seins d'Aurélie sont parfaitement dégagés et ses jambes demeurent bien écartées pendant qu'elle se roule les hanches comme une vraie chatte en chaleur. Cécilia me souffle des baisers et se pince les mamelons en me narguant. J'ai tellement le goût de lui sauter dessus et elle le sait, la salope.
"Hmm... hmmm... moi aussi j'aimerais te manger la chatte mais t'es trop poilue ma chérie." Annonce la démone en se laissant tomber vers l'avant. Tout en cherchant une alternative, elle se met à masturber frénétiquement la vulve d'Aurélie qui aussitôt se lamente comme une folle, sa bouche toujours envahie par le sexe et le cul de Cécilia.
L'ange et la démone se caressent mutuellement et leurs plaintes me sont comme une longue mélodie divine mais je sais que quelque chose manque. Ce doute est confirmé au moment où Cécilia retire son joli cul du visage d'Aurélie. La pauvre est rougie par le plaisir et l'effort. Son visage est moite, ses longs cheveux collent à la peau de son front et de ses joues. Quoi qu'il en soit, elle semble s'acclimater de son rôle largement mieux qu'il y a quelques minutes.
Cécilia se lève et quitte la scène. Aurélie se hisse sur ses coudes mais le reste de son corps demeure relaxe, ses jambes toujours largement écartées. La vue sa chatte ainsi abandonnée me rend fou. Elle me lance un joli sourire. "Je t'aime!"
Je souris mais je ne dis rien. Je refuse de laisser ma présence profaner cette scène divine.
Cécilia revient vite vers Aurélie. Je remarque le jouet qu'elle rapporte et je me mets à trembler d'appréhension. Dans ses mains, Cécilia tient une sorte de ceinture sur laquelle est montée un double gode, une bitte pour Aurélie, une pour elle. Oh que ça va être beau à regarder ça.
"Chérie, faut je te baise, j'en peu plus mais moi aussi j'en veux et j'en veux maintenant." Annonce Cécilia alors qu'elle insère un des deux bouts du gode loin entre ses jolies lèvres vaginales. Tremblant elle aussi d'excitation, elle tente aussi bien qu'elle le peut d'attacher la ceinture autour de sa taille. Aurélie ne lui est d'aucune aide, elle fixe le gode avec des grands yeux tout en se trémoussant la chatte comme une pute en manque. "Putain j'y arrive pas!" Proteste Cécilia.
"C'est pas ton genre de perdre tes moyens..." Rétorque Étienne.
"Je sais bordel! Elle m'excite sans bon sens cette fille! Mais regarde la un peu quoi! Comment est-ce qu'elle peut avoir l'air aussi innocente après tout ce je viens de lui faire? Non mais putain! Je viens de me frotter le cul sur son visage et elle en redemande!
Aurélie sourit comme un ange. "Comme il est gros! Tu crois qu'il va tout rentrer dans ma petite chatte?" Aurélie demande d'une voix délicieusement douce et adorable, complètement hors sujet." Je me demande si elle ne s'amuse pas avec l'emprise qu'elle a sur sa t o r t i o n n a i r e . Cécilia va bientôt perdre les pédales si elle ne peut pas assouvir son désir sur cette jolie femme qui attend patiemment.
Tant pis, je m'en mêle. Je me lève et je m'approche. "T'auras qu'à enlever ce bout du film." Je lance à Étienne. Il ne semble pas s'opposer à mon initiative.
C'est donc ainsi que je m'approche de la scène, sans même prendre la peine de ranger mon pénis en érection. Je me place derrière Cécilia en faisant bien exprès pour que ma bite glisse sur la longue ligne entre ses deux fesses (sans la pénétrer bien sûr) et sans hésiter, j'attache la ceinture dans son dos. Une fois la chose faite, elle se tourne et me lance un joli sourire avant de s'approcher et de m'embrasser profondément tout en masturbant le bout de ma bitte de ses doigts fermes et agiles pendant quelques délirantes secondes. Juste au moment où je suis sur le point de lui venir dans les mains, elle arrête.
"Merci mon beau coco. Maintenant va te rassoir pendant que je baise enfin ton adorable copine."
Ça commence à être vraiment pénible, cet état de quasi orgasme qui ne semble pas vouloir se résoudre mais je me sens incapable de conclure ce moment de joie absolue.
Aurélie sait que son moment est sur le point d'arriver, elle respire frénétiquement et ses yeux pétillent d'anticipation. Cécilia se ramène au-dessus d'elle et pendant une trentaine de longues secondes, agace la vulve d'Aurélie avec le bout de son nouveau jouet.
Ma copine n'en peut plus, ses soupirs sont longs et pénibles. "Allez... allez... baise moi bon s a n g !"
Cécilia sourit et plaque un baiser brûlant sur les lèvres de ma douce amoureuse tout en guidant le monstrueux gode tout au fond de sa petite chatte.
Jouant des hanches et des jambes, Cécilia ondule comme une vipère par-dessus sa proie, entraînant un mouvement qui active son jouet en créant une pénétration double puissante et profonde.
Aurélie n'a besoin qu'une minute de cette t o r t u r e pour atteindre un premier orgasme long et délirant. Ses plaintes suppliantes me rendent malade de jalousie. Cécilia a tôt fait de se joindre à elle, poussant des cris plus sauvages à mesure qu'elle enlace la déesse de velours prise dans ses griffes.
Ce manège dure quelques minutes. Il m'est difficile de compter précisément combien d'orgasmes les belles atteignent lors de ce jeu divin. Je dirais plutôt qu'elles demeurent sur un plateau de plaisir qui ne diminue vraiment jamais.
Cécilia finit par arrêter et f o r c e Aurélie en position assise. Elle prend place devant elle et réinsère le monstre dans la chatte de ma copine. De cette façon, les deux amoureuses de fortune peuvent participer au jeu, appuyées sur leurs mains, roulant le bassin et mues par leurs langoureux coups de hanches, la pénétration est de nouveau partagée et les deux belles ont tôt fait de se remettre à gémir.
J'essaie d'imaginer quel genre de position les deux demoiselles pourraient prendre avec un jouet si particulier. Je me demande si Cécilia oserait demander à Aurélie de se retourner pour pouvoir ainsi défoncer son joli petit cul. D'un autre côté, un gode si énorme? Ma pauvre chérie. C'est son premier rôle; gardons-nous des plaisirs pour plus tard quand même.
L'ange et la démone continuent leur jeu mais les mains ne servent plus à l'appui. Les deux corps se sont dangereusement rapprochés, presque assise une sur l'autre à se caresser mutuellement le visage et les seins, leurs bouchent pratiquement soudées l'une à l'autre, leurs bassins tressaillant de mouvements discontinus pour entraîner la langoureuse pénétration de leur jouet partagé. C'est une vue tout simplement magique. J'en viens à désespérer à l'idée que ce sera bientôt fini quand je me rappelle soudain que tout cela est filmé. Cette scène euphorique sera non seulement imm o r t alisée mais partagée à qui veut bien la voir. Quel bonheur!
Ça fait d'ailleurs un bon moment que je ne me touche même plus. Je suis tellement absorbé par la perfection de l'union érotique de ces deux êtres que mon plaisir personnel me semble une priorité du passé.
Ce n'est pas une exagération biaisée, c'est réellement beau à voir. La prédatrice, plus costaude, plus forte, le dos tatoué de couleurs vives, agressive et entreprenante qui impose sa complète domination sur la proie, petite et délicate, douce et soumise, se laissant aller sans résistance.
Comme si Cécilia avait soudainement lu dans ma pensée, le rythme de son bassin s'accélère, elle ne cherche plus à partager le plaisir mais se le réapproprie graduellement. Son souffle se fait plus cadencé, plus bruyant, on y pressent la venue d'un orgasme qui se construit en elle. Aurélie réagit proportionnellement, ses yeux deviennent suppliants, ses lèvres forment une moue adorable et soumise, sa bouche pousse des lamentations de plus en plus prononcées. Cécilia n'en peut visiblement plus, ses mains vont solidement se plaquer sur les épaules d'Aurélie pour lui envoyer une brusque poussée qui renvoie la douce créature sur le lit. La prédatrice assure de nouveau sa domination en plantant bien les genoux dans le matelas, ses deux bras autour de sa proie, elle envoie son bassin cogner brutalement contre celui de la belle, le verdict est sans appel, c'est la fin qui approche.
J'ai sous-estimé Cécilia. À en juger la f o r c e avec laquelle le lit cogne contre le mur chaque fois que son corps rejoint celui d'Aurélie, la pénétration ne peut être que profonde et satisfaisante. Aurélie se lamente comme une pute finie, elle enchaîne les moments de plaisir à mesure que Cécilia s'approche de son projet final.
Cécilia hurle. Putain qu'elle hurle... À la venue de cet orgasme que je ne saurais quantifier, elle défonce Aurélie tellement fort qu'on dirait qu'elle va la briser.
Et puis soudainement, c'est fini. Moi qui croyais que cette incapacité à immédiatement continuer était réservée aux hommes...
Les deux créatures sont enfin au repos, couchées l'une sur l'autre à échanger douces paroles et baisers amoureux, leurs langues éprises l'une de l'autre en jeux délicats.
Jamais je n'oserais les déranger.
Cécilia se dégage enfin de la somptueuse étreinte d'Aurélie. D'un geste lent et délicat, elle retire son joujou du sexe de ma copine. Aurélie pousse un dernier petit soupir quand le long gode quitte enfin sa chatte. Cécilia, maintenant calmée, détache la ceinture sans difficulté et retire l'autre bout du monstre de son propre sexe avant de regarder vers Étienne. "Allez, c'est fini, tu as ta scène, coupe moi ça. On verra ce qu'on peut faire avec plus tard."
"Ouais j'ai coupé depuis un petit moment déjà." Annonce le maître de la scène avant de quitter son poste.
Juste avant de sortir, il se retourne vers Aurélie. "Alors ma belle, tu restes avec nous?"
Toujours couchée sur le dos, le corps moite de sueur, ma jolie copine hoche doucement de la tête, un sourire angélique à ses lèvres.
"Parfait. Prenez tout le temps qu'il faut pour remballer. On se reparle plus tard. Cécilia, tu t'occupes d'eux hein?" Lance Étienne avant de sortir de la pièce.
"Ouais c'est bon." Annonce la brunette qui vient d'amener mon ange au septième ciel.
Aurélie est toujours sur le dos, elle ne bouge pas. Son souffle est léger et régulier. Elle me regarde avec intensité, ses joues sont rouges et ses jambes demeurent largement écartées, son bassin remue encore, me montrant sa chatte mouillée qui me nargue. Putain qu'elle est bandante.
"Tu vois Aurélie," lance Cécilia, "lui il est gentil. Il nous a laissé nous amuser. Il nous a même aidées quand nous en avions besoin sans même rien demander en retour. Tu crois pas qu'il mérite une petite récompense?"
Oh putain.
Aurélie me regarde avec encore plus d'intensité en hochant de nouveau de la tête, sa chatte se fait de plus en plus invitante à mesure que le mouvement de son bassin grandit en intensité.
Elle en veut encore. Bordel ma copine est impossible à satisfaire.
"Allez viens ici le copain." Commande Cécilia, toujours nue, à genoux à côté de ma déesse de velours.
Inutile de me le répéter.
Je suis debout, j'avance d'un pas rapide, mon pantalon toujours défait, mon short encore baissé et ma verge plus dure que jamais.
"Stop!" Commande la prédatrice. "Ici avant!"
Oui madame.
Je m'approche d'elle sans broncher. Sans aucune hésitation, Cécilia tire mon pantalon et mon short vers le sol; je les laisse tomber sans regarder. Une fois cette formalité complète, ma nouvelle amie prend ma bite de sa main gauche et la masturbe langoureusement. "Merci, monsieur le copain d'avoir été aussi gentil et serviable." M'annonce-t-elle d'une voix suave avant de planter sa langue au fond de ma bouche. Son baiser est profond mais relativement bref. Avant même que je pense à laisser mes mains explorer ses voluptueuses courbes, elle se dégage et me pousse vers Aurélie qui regarde la scène avec une insistance palpable.
Mes genoux se plantent là où étaient ceux de Cécilia il y a à peine deux petites minutes et mon bassin descend instinctivement. Assurant toujours une poigne solide, Cécilia guide ma verge vers son temple; je pénètre Aurélie sans difficulté puisque sa chatte est complètement mouillée.
La pénétration commence, la sensation est divine. Cécilia se couche aux côtés d'Aurélie et lui caresse les cheveux; un jeu de baisers à trois s'installe entre moi et ces deux incroyables femmes, tantôt une, tantôt l'autre, parfois sans moi et même les trois en même temps, une euphorie de plaisir oral, un jeu de langue mêlé aux douces lamentations d'Aurélie et bientôt à celles de Cécilia puisque ma copine a trouvé le moyen de porter sa main droite à la chatte de notre amie mutuelle, ses doigts explorant son sexe chaud et mouillé.
Mes mains touchent la belle robe douce et déchirée de mon amoureuse. Ses seins ballottent paresseusement à chacun de mes coups de bassin. C'est vraiment une femme incroyable.
Je n'ai pas l'endurance de Cécilia. Toute cette scène a eu son effet sur moi, je n'en peux plus. Aurélie n'a pas encore joui, Cécilia non plus. Je doute qu'à ce stade l'une d'elle en soit capable sans effort considérable.
C'est donc mon tour. L'orgasme arrive sans que je ne puisse rien y faire et c'est tout naturellement que je viens dans la douce chatte d'Aurélie. Aucun artifice, pas de sperme au visage, rien de farfelu.
Juste une belle et somptueuse fin à cette scène qui semblait vouée à l'échec.
VelvetGentleman
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